et en bonus l'histoire des homonculus:
![bibliotèque 1697ie](https://2img.net/r/ihimizer/img319/6057/1697ie.jpg)
L'Homoncule est l'être créé hors de la femme, un être de petite taille possédant les capacités intellectuelles et physiologiques de l'être humain. Dans lequel un esprit sera placé.
De nombreux alchimistes tels Paracelse et Albert le Grand se sont intéressés à cette création, et sont d'ailleurs parvenus à des résultats étonnants. Ils nous ont d'ailleurs laissé des écrits sur une telle réalisation. Paracelse nous donne la technique suivante :
On maintient dans un alambic que l'on scelle, une suffisante quantité de sperma viri à la plus haute chaleur d'un ventre de cheval, pendant quarante jours, ou aussi longtemps qu'il est nécessaire pour qu'il commence à se mouvoir, ce qu'il est facile de constater. Au bout de ce temps, il deviendra pareil à un homme, mais cependant, translucide et sans consistance.
Une histoire concernant la réalisation d'Homoncules circule de notre temps. Il s'agit d'un comte Jean-Ferdinand Kueffestein, riche seigneur autrichien. Je retranscrirai ici simplement la belle histoire que fut celle du comte et de ses Homoncules, qu'a écrite Kammerer, témoin de ces expériences dans son journal personnel qui fut re-publié plus tard dans l'almanach "Le Sphinx".
L'histoire se déroule au XVIIIème siècle en Calabre où le comte, assisté de l'Abbé Géloni, tente de créer des hommes artificiellement.
Kammerer nous raconte :
"Ils restent cinq semaines dans le laboratoire d'un couvent de Carmélites, se relayant pour surveiller avec vigilance, nuit et jour, le fourneau allumé, où bouillonne la mixture qui doit susciter la vie..
L'Homoncule est l'être créé hors de la femme, un être de petite taille possédant les capacités intellectuelles et physiologiques de l'être humain. Dans lequel un esprit sera placé.
De nombreux alchimistes tels Paracelse et Albert le Grand se sont intéressés à cette création, et sont d'ailleurs parvenus à des résultats étonnants. Ils nous ont d'ailleurs laissé des écrits sur une telle réalisation. Paracelse nous donne la technique suivante :
On maintient dans un alambic que l'on scelle, une suffisante quantité de sperma viri à la plus haute chaleur d'un ventre de cheval, pendant quarante jours, ou aussi longtemps qu'il est nécessaire pour qu'il commence à se mouvoir, ce qu'il est facile de constater. Au bout de ce temps, il deviendra pareil à un homme, mais cependant, translucide et sans consistance.
Une histoire concernant la réalisation d'Homoncules circule de notre temps. Il s'agit d'un comte Jean-Ferdinand Kueffestein, riche seigneur autrichien. Je retranscrirai ici simplement la belle histoire que fut celle du comte et de ses Homoncules, qu'a écrite Kammerer, témoin de ces expériences dans son journal personnel qui fut re-publié plus tard dans l'almanach "Le Sphinx".
L'histoire se déroule au XVIIIème siècle en Calabre où le comte, assisté de l'Abbé Géloni, tente de créer des hommes artificiellement.
Kammerer nous raconte :
"Ils restent cinq semaines dans le laboratoire d'un couvent de Carmélites, se relayant pour surveiller avec vigilance, nuit et jour, le fourneau allumé, où bouillonne la mixture qui doit susciter la vie..
L'Homoncule est l'être créé hors de la femme, un être de petite taille possédant les capacités intellectuelles et physiologiques de l'être humain. Dans lequel un esprit sera placé.
De nombreux alchimistes tels Paracelse et Albert le Grand se sont intéressés à cette création, et sont d'ailleurs parvenus à des résultats étonnants. Ils nous ont d'ailleurs laissé des écrits sur une telle réalisation. Paracelse nous donne la technique suivante :
On maintient dans un alambic que l'on scelle, une suffisante quantité de sperma viri à la plus haute chaleur d'un ventre de cheval, pendant quarante jours, ou aussi longtemps qu'il est nécessaire pour qu'il commence à se mouvoir, ce qu'il est facile de constater. Au bout de ce temps, il deviendra pareil à un homme, mais cependant, translucide et sans consistance.
Une histoire concernant la réalisation d'Homoncules circule de notre temps. Il s'agit d'un comte Jean-Ferdinand Kueffestein, riche seigneur autrichien. Je retranscrirai ici simplement la belle histoire que fut celle du comte et de ses Homoncules, qu'a écrite Kammerer, témoin de ces expériences dans son journal personnel qui fut re-publié plus tard dans l'almanach "Le Sphinx".
L'histoire se déroule au XVIIIème siècle en Calabre où le comte, assisté de l'Abbé Géloni, tente de créer des hommes artificiellement.
Kammerer nous raconte :
"Ils restent cinq semaines dans le laboratoire d'un couvent de Carmélites, se relayant pour surveiller avec vigilance, nuit et jour, le fourneau allumé, où bouillonne la mixture qui doit susciter la vie..
![bibliotèque Sanstitren4zz](https://2img.net/r/ihimizer/img319/4539/sanstitren4zz.png)
Les deux opérateurs en créèrent dix : un Roi, une Reine, un Architecte, un Moine, une Nonne, un Séraphin, un Chevalier, un Esprit Bleu et un Esprit Rouge.
Chacune de ces petites créatures fut, aussitôt sa venue au monde, placée dans un bocal plein d'eau bénite et soigneusement bouché d'une vessie mouillée afin d'empêcher toute évacuation. Puis l'abbé Géloni donna solennellement sa bénédiction aux nouveaux petits mortels, lesquels, moins longs que la main, d'après Kammerer, ressemblaient plus à des goujons qu'à quoi que ce fut d'autre.
Il fallait faire grandir ces faibles choses et les amener à leur plein développement. Pour cela, de nuit, on transporta les bocaux au fond du jardin du couvent et on les enfouit dans un tas de fumier qu'on arrosa d'une liqueur inconnue, douée de propriétés énergiques. Sous l'action de cette liqueur, le fumier fermenta, ce qui sans doute impressionna vivement les "Esprits" enterrés, car ils se mirent " à crier et siffler furieusement ".
Cette incubation dura quatre semaines. Après quoi, le comte l'abbé et le domestique se rendirent en pompe au fond du jardin. L'abbé, qui était revêtu de ses ornements sacerdotaux, célébra une cérémonie religieuse ; le comte chanta des psaumes ; Kammerer encensa le fumier. On déterra les goujons. Ils avaient grandi notablement. On les rapporta dans le laboratoire et on les mit au bain, dans du sable chaud, où on les laissa se reposer, dans l'ombre et le silence, pendant trois jours." Au bout de ce temps, Kammerer les revit. Il fut stupéfait du changement qui s'était opéré en eux. Ils semblaient parvenus à l'âge adulte ; les hommes avaient des barbes, les dames étaient parfaitement belles. On les habilla par les soins de l'abbé Géloni ; le Roi eut un sceptre et une couronne, la Reine un diadème, le Chevalier une épée, l'Architecte un compas.
L'abbé Géloni, plein de sollicitude et de tendresse, les para de son mieux et leur coupa les cheveux, ce dont s'irrita grandement le petit moine qui le mordit à la main. Presque tous les "Esprits" du reste manifestaient un détestable caractère et passaient leur temps à se quereller entre eux. En outre, ils ne songeaient qu'à s'évader de leurs bocaux et il fallait sans cesse, non seulement vérifier avec soin les vessies de clôture, mais encore réfréner les tendances à la rébellion des petits enfermés en leur récitant des exorcismes".
interresant nese pas.
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